Florence Hennequin, musicienne guérisseuse

portrait de florence hennequin violoncelliste

« Petite déjà, je m’intéressais aux gens. J’aimais rentrer en contact avec eux » C’est ainsi que débute l’interview de Florence Hennequin. Nous nous sommes donné rendez-vous au bistrot « Le Chantefable », à Paris.  Sportive, elle a fait le chemin à Vélo. En préparant son nouveau JATTENDSLENUMERO1 consacré à la musique, Ivan Leprêtre a eu l’idée de cette mise en relation : « C’est une violoncelliste de talent, une femme brillante et super sympa. Il faut que tu la rencontres ». Et nous voilà, assises à la terrasse de ce bistrot bien connu des habitants du 20e arrondissement. Je comprends vite que j’ai en face de moi une femme d’une vivacité d’esprit peu commune. De musique il sera question, bien sûr. Mais aussi de sport, de fasciathérapie, de coiffure, de moto, d’aviation, de cheval, de famille. Femme généreuse et belle, multiple et entière, animée par l’envie permanente de comprendre et de donner, Florence est musicienne et guérisseuse.

L'interview complet est dans le MAGAZINE J'ATTENDS LE NUMERO #55

by Anne Josse

Florence Hennequin, violoncelliste de renom, a répondu à mes questions dans le spécial « Instruments » de J’attends le numéro #55.

Extraits…

(…)

Florence Hennequin : La capacité des adultes à mentir aux enfants, je l’ai comprise le jour où mes parents m’ont annoncé que le père Noël n’existait pas. Comment pouvaient-ils m’avoir caché cela pendant tout ce temps ? J’ai commencé à sérieusement douter de la parole des grandes personnes…Je vais sans doute te surprendre si l’on considère que mon enfance, à bien des égards, fut heureuse, privilégiée même, mais j’ai sincèrement détesté être enfant. J’avais hâte de grandir pour accomplir tout ce que je voulais, décider de ce que ferais. Accéder au statut d’adulte signifiait pour moi être libre.

AJ : La pratique du violoncelle est un choix de tes parents ?

F.H. : Je suis issue d’une famille de musiciens et dans ce contexte, la question de la pratique d’un instrument ne se pose pas. Cela fait partie de la culture, de l’éducation. J’ai choisi le violoncelle sans raison particulière. Sans doute par goût de la nouveauté. Mon frère joue du clavier à la perfection et mon père est un hautboïste de renom. Ma pratique s’est transformée en passion un peu plus tard. Je me suis vite révélée habile, douée même pour le violoncelle. A l’issue de ma formation au Conservatoire National de Paris, j’ai intégré l’Orchestre Régional de Bretagne. J’accédais enfin à l’autonomie à laquelle j’aspirai tant ! Lorsque je me suis installée à Rennes, je me suis tout de suite mise en quête d’un lieu pour pratiquer l’équitation. Le problème, c’est que le club se trouvait assez loin de l’Orchestre. J’ai dû déployer une organisation hors pair pour concilier mes deux activités et pouvoir, entre chaque répétition, m’adonner à ma deuxième passion. Pour gagner du temps, j’ai décidé de passer mon permis moto, bravant au passage un autre interdit de mes parents ultra protecteurs : devenir motarde !

(…)

 

AJ : C’est quoi pour toi être un bon musicien ?

F.H. : C’est communiquer avec la justesse et le tempo des autres musiciens, c’est écouter l’autre avec sincérité. Et puis, surtout, c’est faire du bien aux autres.

 

(…)

 

« Mon violoncelle comme mes mains sont des vecteurs de bien-être. Je n’ai pas peur de dire que je suis une guérisseuse. »

Florence Hennequin avec CARUSO son fidèlevioloncelle

La suite de l’interview de Florence Hennequin est à lire dans le numéro spécial INSTRUMENTS imaginé, conçu, créé par Ivan LeprêtreJATTENDSLENUMERO #55

interview de Florence Hennequin par Anne Josse

Magazine 100% créatif imaginé par Ivan Leprêtre

L'interview complet est dans le MAGAZINE J'ATTENDS LE NUMERO #55

by Anne Josse

Florence Hennequin, violoncelliste de renom, a répondu à mes questions dans le spécial « Instruments » de J’attends le numéro #55.

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